mardi 2 mars 2010

Conclusion

Ainsi, après avoir pu observer l'œil, partie complexe du corps humain composée de plusieurs éléments ayant chacun une fonction spécifique, et le mécanisme de la vision, avec la transmission au cerveau, nous avons pu voir en quoi consistait les deux amétropies que nous avions choisi d'étudier : la myopie et l'hypermétropie. Nous avons appris que la myopie était due à un œil trop « long », qui rendait la vision de loin difficile, contrairement à l'hypermétropie, conséquence d'un œil trop « court » rendant mauvaise la vision proche. Les verres ophtalmiques, dont il existe plusieurs types selon l'efficacité, le design et la matière, corrigent ces défauts visuels grâce à leurs lentilles de différentes vergences. Nous avons ainsi pu conclure qu'une lentille convergente compense l'hypermétropie tandis qu'une lentille divergente corrige la myopie. Ainsi, grâce à un dispositif qui pourrait paraitre simple, les lunettes, et plus particulièrement leurs verres, peuvent corriger ces deux maladies de l'œil. Mais, heureusement, leur propriétés ne sont pas restreintes à ces deux problèmes : beaucoup d'autres maladies visuelles sont corrigibles comme l'astigmatisme, dû à un défaut de la cornée, et la presbytie, causée par le vieillissement du cristallin et qui touche donc tout le monde à partir de 45-50 ans. Pour finir, on pourrait donc se demander comment ces autres maladies sont-elles corrigées puisque nous semblons tous voués à être presbytes un jour.

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